La formation est actuellement au cœur de la GRH car centrée sur la production des compétences.
Le contexte d'ouverture des économies font de la modernisation des entreprises un processus continu fondé sur le changement et l'innovation facteurs principaux de compétitivité. En effet la globalisation des économies et la concurrence internationale qui l'accompagne rendent nécessaire de développer une écoute de l'environnement plus particulièrement de la clientèle.
Par ailleurs la rapidité des innovations, la difficulté grandissante à prévoir et à gérer les risques sont autant de données nouvelles qui conduisent les entreprises à considérer les ressources humaines comme le facteur de leur développement.
De plus en plus c'est la capacité des ressources humaines de l'entreprise à anticiper les besoins de la clientèle, leur niveau de réactivité par rapport à un environnement en perpétuel changement qui sont déterminants dans la compétitivité et la performance de l'entreprise.
D'un autre côté les observateurs extérieurs, les détenteurs de capacités de financement et les actionnaires cherchent à évaluer les entreprises par des moyens autres que les résultats financiers.
Ils abordent l'entreprise par son capital immatériel dont les compétences sont une composante principale.
Au plan macro-économique, la formation est au carrefour des transformations du système éducatif et du système productif ; elle traduit les nouveaux rapports à l'éducation, au savoir et au travail.
La GRH se traduit aujourd'hui par une remise en cause du procès de travail taylorien fondé sur les concepts de qualification et de poste de travail.
Elle se conjugue en termes de compétences et des modalités de leur production.
La formation est au centre du dispositif car elle permet l'entretien et la production des multiples compétences que requiert le nouveau procès de travail.
C'est là une hypothèse forte qui n'est pas nécessairement vérifiée dans toutes les entreprises. La logique de compétence ne traduit-elle pas un simple effet de mode et un leurre sémantique ?
Dans ce cas le concept de compétence devient une autre manière de désigner la qualification adaptée à l'évolution du procès de travail et de l'entreprise.
Le contexte d'ouverture des économies font de la modernisation des entreprises un processus continu fondé sur le changement et l'innovation facteurs principaux de compétitivité. En effet la globalisation des économies et la concurrence internationale qui l'accompagne rendent nécessaire de développer une écoute de l'environnement plus particulièrement de la clientèle.
Par ailleurs la rapidité des innovations, la difficulté grandissante à prévoir et à gérer les risques sont autant de données nouvelles qui conduisent les entreprises à considérer les ressources humaines comme le facteur de leur développement.
De plus en plus c'est la capacité des ressources humaines de l'entreprise à anticiper les besoins de la clientèle, leur niveau de réactivité par rapport à un environnement en perpétuel changement qui sont déterminants dans la compétitivité et la performance de l'entreprise.
D'un autre côté les observateurs extérieurs, les détenteurs de capacités de financement et les actionnaires cherchent à évaluer les entreprises par des moyens autres que les résultats financiers.
Ils abordent l'entreprise par son capital immatériel dont les compétences sont une composante principale.
Au plan macro-économique, la formation est au carrefour des transformations du système éducatif et du système productif ; elle traduit les nouveaux rapports à l'éducation, au savoir et au travail.
La GRH se traduit aujourd'hui par une remise en cause du procès de travail taylorien fondé sur les concepts de qualification et de poste de travail.
Elle se conjugue en termes de compétences et des modalités de leur production.
La formation est au centre du dispositif car elle permet l'entretien et la production des multiples compétences que requiert le nouveau procès de travail.
C'est là une hypothèse forte qui n'est pas nécessairement vérifiée dans toutes les entreprises. La logique de compétence ne traduit-elle pas un simple effet de mode et un leurre sémantique ?
Dans ce cas le concept de compétence devient une autre manière de désigner la qualification adaptée à l'évolution du procès de travail et de l'entreprise.
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